Car l’immédiat est loin d’être ce qu’il y a de plus facile à apercevoir.
Il faut porter en soi un chaos pour mettre au monde une étoile dansante.
Nietzsche
fLaquE eN VrAc
(variations flasques : treize à la douzaine)
1.
nouvelle
à la langue une cHoSe rebelle
obstinément
éclaboussure sera son dernier Mot
2.
la flAqUe informe est
qui résiste
-évanescente-
à la mise au pas du langage
résolument cette chose
SAUVAGE
3.
la flaque est une chose rebelle- que nul langage ne peut apprivoiser
- et c'est bien en vain qu'on l'appelle
- s'il lui convient de refuser
4.
creux-
consacrée aux souterrains
dieux
en offrande trois mots engloutis illico
vaseux
5.
v'là la pluie
une nouvelle fois le hasard qui impressionne en creux le bitume
taille-douce et la flaque toujours recommencée
l'œil qui n'y voit que nib et du même
6.
les mots pour assécher
hier encore ils portaient sur les fonts baptismaux
7.
la flaque est sans pourquoi
7a.
seule la flaque qui s'assèche est une flaque totale
perdus les eaux et son nom de baptême
perdus les eaux et son nom de baptême
8.
son avenir dans le dos
la flache et cul sec
son avenir dans le dos
la flache et cul sec
9.
errer
chercher la Flaque ou bien
LA flaque ?
chercher la Flaque ou bien
LA flaque ?
10.
faire corps
solitude de la flaque
inséparable
de ma propre solitude
faire écho
faire chaos
faire écho
faire chaos
11.
l'objet
ce regard sur la chose
la chose
ce regard* sur soi
*fiat lux : la rétine n'attendait que ça
-regard troublé : un e pour un a et la chose chamboulée-
retour de la chose au
chaos sans regard sans objet
et voir dans la flaque une étoile danser
l'indécision formelle de la flaque
un défi pour l'œil
et la géométrie
13.
Heureux qui sent la flaque sans y penser
À suiVre...
Chercher l'a-flaque...
RépondreSupprimerIci, je suis heureux : je sens la flaque sans y penser...
Un rien me fait chanter
RépondreSupprimerUn rien me fait danser
Un rien me fait trouver belle la vie
Un rien me fait plaisir
Un rêve un petit désir
Un rien me fait sourire l'âme ravie
Quand le ciel est joyeux je me sens le cœur tout bleu
Mais quand hélas il pleut j'aime la pluie [...]
Charles Trénet
Et puis les femmes les femmes les femmes qui ont les yeux bleus...
Supprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=UQ4zErveEV4
Oui ! Bleus !
RépondreSupprimerVous êtes-vous déjà penchée sur les mouvements que le vent imprime sur la surface de la flaque ?
Supprimer( J'ai pensé à vous poser cette question en observer les mouvements d'une flaque. )
La flaque est-elle totalement à sec ?
RépondreSupprimerVivement la pluie !
Que faut-il penser du "À suivre" inscrit au bas de ce dernier billet ?
RépondreSupprimerLa flaque est à sec, plus de doute.
RépondreSupprimerLa flaque est à sec : plus de goutte.
SupprimerLa flaque est à sec : la croûte.
Supprimerde sel
SupprimerJe ne crois pas Cédric : si la flache se mettait à douter elle s'assécherais sur le champs : La flaque est là : elle ne demande rien : et maintenant on se fait une partie ?
RépondreSupprimerMaintenant ?
SupprimerChevalier, la flaque ne s'assèchera pas : Trempons nos bottes dans les flaques sèches.
RépondreSupprimerJ'ai détruit tous les commentaires. Il ne reste que les phrases.
SupprimerJe recommence à zéro.
Cette fois j'ai les noirs.
Supprimere2-e4
SupprimerJ'aime bien cet endroit : c'est calme et tranquille ici, Je propose de jouer les coups ici : c'est calme et tranquille. Personne nous regarde.
RépondreSupprimerJ'avance le pion noir du Roi de 2 cases.
Si tout se passe bien je prends les photos au fur et à mesure des coups : et la partie devient un gif.
J'aime aussi. La flaque est tranquille.
SupprimerJ'ai marque-pagé ce billet de la flaque - pour directement pouvoir y accéder - et me souvenir de jouer.
J'ai installé à côté de l'ordinateur un petit échiquier de voyage -aimanté- qui fera parfaitement l'affaire ; je devrais y voir clair.
Je fais sauter mon cavalier droit en colonne f rangée 3 : Cf3.
J'ai donc les noirs.
RépondreSupprimerJe joue mon cavalier gauche (celui à la gauche de mon roi) en f6 : Cf6.
Cc3, donc.
RépondreSupprimerJ'avance le pion de mon roi de une case : e6.
RépondreSupprimer(les histoires sont toutes incohérentes)
e4
RépondreSupprimerDeux pions au centre de la mare numéro deux de l'orée.
Fe7
RépondreSupprimerle fou devant le roi
Fg5
RépondreSupprimerpion en h6
RépondreSupprimerLe fou blanc prend le cavalier noir :
RépondreSupprimerFxf6
Dans les paramètres de blogger il est possible d'inviter une personne à publier des billets sur son blog.
Accepteriez-vous mon invitation ?
Accepteriez-vous de m'inviter ?
Mon fou noir prend le fou blanc
RépondreSupprimerFxf6
Vous êtes devenu fou.
Je sors mon cavalier (celui qui n'a pas encore bougé) : il se dirige vers le centre de la mare. Le cavalier blanc se pose sur le trou d'eau situé en face du pion qui est lui-même en face du fou.
RépondreSupprimerCf3
SupprimerLe pion de la reine, je l'avance de deux : d5.
RépondreSupprimer(Larissa, sommes-nous les bienvenus ici ? tels deux têtards dans la mare)
Fd3
RépondreSupprimerIl pleut.
J'avance le pion noir : c6.
RépondreSupprimerLe ciel est bleu. Il y a du vent mais
e5 (le pion blanc avance)
RépondreSupprimerJ'aime les blogs abandonnés.
Le fou recule Fe7
RépondreSupprimerComme dans les vieux châteaux, il y a toujours un vieil échiquier qui traîne, dans les blogs abandonnés
a3 : le pion avance.
RépondreSupprimerIl pleut doucement des commentaires sur les blogs désertés.
Après la visite d'un chat, j'ai remis de l'ordre sur l'échiquier.
RépondreSupprimerJe roque.
RépondreSupprimerPetit roque.
0-0
Ici les chats vivent dehors, ils ont une grange pour s'abriter.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerLe pion en h3.
Supprimerle pion en c5
RépondreSupprimerEn effet votre "J'ai un double" est un rebondissement parfait.
RépondreSupprimerEn lisant quelques commentaires de "votre double" je vois ce qui vous confond.
Là, dans cette mare sans bords, pourriez-vous faire lire à votre lecteurs le courrier très pressé que vous avez adressé à votre double...
Le chat a encore éclaboussé la flaque : je joue avant ce soir.
le courrier fut écrit dans le calme et la sérénité, pas vraiment pressé donc, et surtout sans attentes ou expectatives, juste de la curiosité.
SupprimerMon lecteurs me le demande, et n'ayant pas de réticence à lui faire lire, le voici :
"Bonsoir,
J'ai découvert hier par hasard ce que vous écrivez sur amazon.
Le dernier billet que j'ai écrit sur mon blog exprime clairement ce
que j'ai ressenti alors en vous lisant, voici le lien :
http://issuedesoi.blogspot.fr/
J'aimerais que vous y jetiez un oeil. :-)
Amicalement.
Cédric."
Mon double m'a déjà répondu mais je ne peux faire lire cette réponse à mon lecteurs.
Mon jeu d'échecs est patient, rien ne bouge.
Peut-être votre double commentera : ici ou chez vous : votre double est capable d'arriver jusqu'ici.
RépondreSupprimerUn jour V. a dit : " Half n'est pas la moitié d'un commentateur." J'adore.
Je me demande quel sera le prochain personnage à venir se promener ici.
RépondreSupprimerCe moment arrivera inéluctablement et dans tous les sens.
La flaque sera probablement encore en place dans mille ans.
RépondreSupprimerMais peut-être que le Nibiru du Marquis l'aura définitivement asséchée bien avant.
Cela fait plus de quatre maintenant que L. a cessé d'échouer à l'assécher.
Il pleut toujours quelque part.
À moi. Je m'adresse à vous Larissa. Je m'adresse à la flaque.
RépondreSupprimerBlogger permet d'inviter des personnages (les deux joueurs de cette partie d'échecs assez originale, par exemple) à publier (mon dieu) des articles directement ici sur votre flache sans bords.
Larissa, je vous en prie : invitez-nous.
Nous serons sages.
SupprimerNous songeons à quelque chose comme une série...
Supprimerhttp://laflaque.blogspot.fr/2012/04/34-vu-dendans-leau-tentative.html
La reine en d1.
RépondreSupprimerNous sommes deux gouttes.
d2
SupprimerBlaise de l'orée, Elly, Carole, F.S., V., Frankie Pain, Catherine, etc : un générique parfait.
RépondreSupprimerVotre silence est long, Larissa, et pourquoi ce silence ?
RépondreSupprimerFou en g5.
RépondreSupprimerL'attaque de la reine
un silence brutal sans explications sans avertissement
Peut-être Philippe Chauché pourrait nous dire quelque chose de ce silence.
RépondreSupprimerCxFg5
Ou Lucien Suel ?
RépondreSupprimerhttps://academie23.blogspot.fr/2012/10/sombre-ducasse-version-justifiee-1.html
Déjà en décembre 2011, elle savait que ça allait faire du bruit...
http://chauchecrit.blogspot.fr/2011/12/en-passant-5.html
DxCg5
La reine monte à cheval.
Sauvez la reine : c'est le titre du livre, écrit par Monsieur Minuit, le premier mari de mon premier amour.
RépondreSupprimerDxDg5
xDg5
RépondreSupprimerLes blancs dominent.
Les blancs dominent.
SupprimerLe silence de Larissa nous interdit de nous taire.
RépondreSupprimerd4xc5
Cc6
RépondreSupprimerle silence n'a que trop duré
g2g4
RépondreSupprimerh3h4 (je ne joue pas g2g4, avec votre permission).
RépondreSupprimerPermission accordée.
RépondreSupprimerCxe5
Incrédule a supprimé la liste "Ne les croyez pas", qui ne représentait déjà plus qu'une petite flaque, la petite flaque restante s'est évaporée pendant la nuit. Le C. solitaire est désormais totalement solitaire, il porte enfin bien son nom.
h4xg5
RépondreSupprimerL'assèchement c'est la voie.
– Et le BRAM ?
RépondreSupprimer– Quoi le BRAM ?
Cxd3
RépondreSupprimerxCd3
RépondreSupprimerFd7
RépondreSupprimerLes blancs dominent. Je suis mal barré. Touché mais pas coulé.
Et quitte à couler, autant couler dans la flaque, et s'y noyer.
C'est le moment du grand roque :
RépondreSupprimer0-0
Les pièces petit à petit s'en vont dans le grand emmerdement blanc.
C. est allé voir sur la page "notation algébrique" de W. car il avait un doute. Il est indiqué : grand roque : 0-0-0.
RépondreSupprimerC. se dit que A. n'a aucune raison de faire un petit roque, qu'il n'y a donc aucune ambiguïté possible. C. va donc jouer :
g6
Maintenant je sais : 0-0-0 pour le grand roque : merci d'avoir rectifier : il s'agit bien d'un grand roque.
RépondreSupprimerTh6
Rg7
RépondreSupprimerTd1-h1
RépondreSupprimerAvec nos coups, nos roques petits ou grands, nos notations algébriques : ne souillons-nous pas cet œil d'eau sans bords qui nous accueille ?
RépondreSupprimerNos commentaires recouvrent la flache d'une neige industrielle : mauvaises pensées peut-être.
Oui mauvaises pensées, les articles sont intacts, l'eau est cristalline.
SupprimerEt puis quand bon nous semblerait on pourra toujours supprimer tous nos commentaires et L. supprimer éventuellement tous les "ce commentaire a été supprimé par l'auteur".
La neige fond.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerTf8-h8
RépondreSupprimerTxh8
RépondreSupprimerTxh8
RépondreSupprimerTxh8
RépondreSupprimerIci nous sommes deux : parmi tous les endroits possible de tout l'univers (ce nombre est infini, pour le moment en tout cas) : nous sommes deux ici.
RépondreSupprimerC'est merveilleux.
Ici nous sommes deux : parmi tous les endroits possibles de tout l'univers (ce nombre est infini, pour le moment en tout cas) : nous sommes deux ici.
SupprimerC'est merveilleux
Rxh8
RépondreSupprimerJ'ai fait table rase, à nouveau.
RépondreSupprimerJe n'est pas un autre. Si Je était un autre, il ne serait pas moi. D'ailleurs l'autre n'est pas moi.
Nous sommes ensemble, dans un gigantesque moi-autre.
f4
RépondreSupprimerRg7
RépondreSupprimerLa flaque vous va bien : peut-être parce que vous ne mettrez jamais vraiment les pieds ici. En tout cas la flaque vous va bien.
RépondreSupprimera4
Fc6
RépondreSupprimerLa flaque est un endroit familier : la tentation est grande d'abandonner La Plantación et de flotter ici dans ce gigantesque moi-autre.
RépondreSupprimerb3
RépondreSupprimerNous n'avons pas besoin de plus d'espace : l'espace commentaire est infini. La flaque est sans bords.
RépondreSupprimerf6
RépondreSupprimerTomber infiniment dans la flaque sans fond.
RépondreSupprimerd4
RépondreSupprimer14. Vu dans l'eau tentative d'assèchement de la flaque
RépondreSupprimerMais une flaque d'eau, d'un doigt de profondeur,
Qu'enferment les pavés d'une route de pierre,
Fait plonger le regard aussi loin sous la terre
Que le gouffre est profond du ciel jusqu'à la terre,
Et l'on croit voir en bas les nuages, le ciel,
Les astres enfouis, ô merveille ! sous terre.
Lucrèce, De rerum natura -livre IV (traduction Ariel Suhamy)
xg5
RépondreSupprimerTentative d'effacement du miroir.
RépondreSupprimerxg5
RépondreSupprimerRf7
RépondreSupprimerRd2
RépondreSupprimere5
RépondreSupprimerles particules de la flaque s'accélèrent
Re3
RépondreSupprimer56 tentatives sont là.
RépondreSupprimer+ 2 nanotentatives.
RépondreSupprimere4
RépondreSupprimeret 56 réussites + 2 nanoréussites
RépondreSupprimerCet après-midi j'ai écrit un poème :
RépondreSupprimerhttps://www.pauljorion.com/blog/2017/10/29/pourquoi-je-retranscris-de-temps-en-temps-les-videos-le-temps-quil-fait-par-alf/
b4
RépondreSupprimerÀ moi. Chevalier Solitaire Limier de Saint Cédric - Blaise Lesire à la science des noms - j'écris à peu près tout sur un iPhone 5s.
RépondreSupprimerLa case commentaire de blogger (vous la voyez cette case blanche) débouche directement sur l'infini : exactement comme la porte dans le salon de coiffure du coiffeur de Fernando Pessoa.
Pareil pour le poème laissé par Alf (je ne suis pas Alf) dans la taverne de l'enfer du trader repenti.
Les blancs dominent : c'est vrai.
RépondreSupprimerJ'étudie les règles du jeu d'échecs (règle des 50 coups, répétitions des coups, etc.)
La nullité c'est la voie.
Un de mes ancêtres a organisé le premier réseau de poste en Europe : mon ancêtre a écrit : Tous les courriers sont pressés.
RépondreSupprimerJe me demande si ce n'est pas enfant la première phrase que j'ai entendue.
Re6
RépondreSupprimerRf4
RépondreSupprimerC'est l'effet aquatique.
RépondreSupprimera6
RépondreSupprimera5
RépondreSupprimerParmi toutes les parties possibles (environ 10 puissance 120) cette partie a-t-elle déjà été jouée ?
RépondreSupprimerIls diront : jamais un fou noir ne pourra s'installer sur une case blanche.
RépondreSupprimer- Ne soyez certain de rien. L'univers est vaste.
⬇️⬇️⬇️⬇️
SupprimerRectificatif
RépondreSupprimerIls diront : jamais le fou qui débute sur une case blanche ne pourra venir s'installer sur une case noire.
- Ne soyez sûr de rien. L'univers est vaste.
Fd7
RépondreSupprimerCette partie n'a jamais été jouée.
RépondreSupprimerPrenez un jeu de 52 cartes, mélangez-les bien, l'ordre des cartes de ce jeu de cartes mélangé est inédit.
Quand on mélange un jeu classique de 52 cartes, l'ordre que l'on obtient est l'une des combinaisons possibles parmi 8.0658x10^67, soit un nombre long de 68 chiffres.
Si l'on considère que les cartes modernes existent depuis environ 800 ans, et en imaginant qu'un jeu de cartes ait été mélangé chaque seconde depuis 8 siècles, on obtient en gros 25 milliards de mélanges. C'est un nombre beaucoup, beaucoup plus petit. En fait, même si toute l'humanité avait passé son temps à mélanger des cartes depuis les 800 dernières années, on resterait très loin de 8.0658x10^67.
Donc, la prochaine fois que vous mélangerez (sérieusement) un jeu de cartes, dites-vous devant l'ordre obtenu qu'il n'était probablement encore jamais apparu dans l'Histoire.
L'univers est vaste. La flaque davantage.
g3
RépondreSupprimerFc6
RépondreSupprimerCe2
RépondreSupprimerCette partie peut ne jamais finir et être déclarée nulle : mais par qui ?
RépondreSupprimerJe suis raisonnable : je propose que la partie soit déclarée nulle.
RépondreSupprimerJ'allais jouer Fb5 mais en effet je vois également un nul. (à moins que les blancs ne déplacent pas leur cheval, et que je le prends au coup suivant avec mon fou).
RépondreSupprimerJ'accepte donc la partie nulle.
La nullité est bien la voie.
Leur pion supplémentaire ne donne aucun avantage aux blancs.
A un moment donné, les noirs ont craint de perdre la partie.
C. va-t-il ranger son échiquier et le ressortir dans six ans pour la prochaine partie ?
Peut- être sur la flaque toutes les parties aboutissent à la nullité.
RépondreSupprimerEntamons une nouvelle partie pour voir : si vous le voulez bien bien sûr. Le voulez-vous ? Dans ce cas j'ai les noirs.
On pourrait faire une partie pour chaque tentative d'assèchement : 55-54-53-.......02-01.
RépondreSupprimerJ'y pensais justement, refaire une partie mais sans le billet précédent.
RépondreSupprimerRendez-vous au 55.
Correction : sous pas sans.
SupprimerJ'y serai avec les noirs.
RépondreSupprimer